"On ne verra jamais"(Tomahawk), ce texte de Raymond Valcke écrit pour une cérémonie de voeux reprend sous la forme d'une liste à la Prévert des situations futiles voire cocasses qu’on ne verra sans doute jamais pour finalement atterrir sur des sujets de fond qui malheureusement se dessinent avec même des dérives incontrôlables dictées par des algorithmes et des intelligences artificielles en roue libre.
Monmix l'aborde donc comme un discours en soignant l'interprétation de l'intention dans un arrangement plutôt moderne qui se durcit progressivement et se termine par un double solo de guitare distorsion