Les coulisses
Il est des lieux qu'on rattache à des évènements heureux, des fêtes, des retrouvailles et parfois, les circonstances de la vie font qu'un de ces lieux effaçe les souvenirs précédents et se pare de mélancolie et de tristesse. San Sebastian (Donostia en basque), la perle du Cantabrique, la peigne du vent a aussi une gare....
Un arpège de guitare et quelques notes de piano pour une interprétation en retenue
Paroles
D’une enclave madrilène entre deux castillanes
Dans le pays des arènes il traverse l’Espagne
Comme du sang dans les veines,
Irriguant les hautes plaines
jusqu’à San Sebastian
Tout au bord de l’Aquitaine , par delà les montagnes
C’est le train qui t’amène pour nos retrouvailles
Là où les vagues se peignent (La peigne du vent) ,
Donostia la perle
Enfin, San Sebastian
Et c’était simple et c’était beau
Comme un resto au bord de l’eau
Comme le soleil, dès le réveil
Je sentais bien les nuages, à l’heure des au-revoirs
Sous le ciel bleu de la plage, en marchant vers la gare
Ce silence qui pèse,
Rien à dire qui apaise
Hélas San Sebastian
Sur le quai de la gare , on s’est pris un peu dans les bras
Une accolade bizarre, toi tu l’avais compris déjà
Moi, je ne savais pas ,
Que c’était la dernière fois
Et que je ne te reverrai pas
Instrumental
Puis un matin de Janvier, dans cette même gare
Dans le train elle est montée, seule pour aller te voir
Je suis resté sur le quai,
Tout seul , effondré
De larmes à San Sebastian
28 Janvier 2024
from "No days off”
Lyrics by Monmix/Music by Monmix
San Sebastian, Donostia la perle du Cantabrique , La peigne du vent
