Les coulisses
Quand on se rend compte qu'on peut blesser sans le vouloir, sans le savoir..... en cherchant à protéger ou en voulant faire rire avec un humour qui vole un peu trop bas
Quand chercher à justifier et à se justifier creuse parfois les fossés
Quand on emprisonne en croyant libérer
Quand on a oublié qu'on pouvait être libre, ....
Si on regardait l'avenir avec des yeux d'enfants .... sans en avoir peur... juste en écoutant et en accueillant
Une ballade tout en retenue à base de guitares soutenues par piano et quelques cordes discrètes pour mettre le texte en avant
Et pour illustrer , une vidéo de lever de soleil en timeplapse
Paroles
S’il nous restait un peu de notre enfance , alors on pourrait
Se sentir riche d’un rien , d’un caillou sur le chemin
S’il nous restait un brin d’insousciance, alors on pourrait
Juste se prendre la main sans penser à demain
Pour monter là haut , juste pour se voir depuis le ciel
Et monter si haut, les rêves n’ont pas besoin d’ailes
Je te promets de briser le silence, si tu voulais
Un peu de chaos ou les grands voiles d’un bateau
Je te promets, je saisirai ma chance et je reprendrai
Juste mon sac à dos et un petit escabeau
Pour monter là haut, où les âmes sont éternelles
Et s’il le faut, je te ferai la courte échelle, ma belle
J’oserai dire “je ne sais pas” si tu attends ça de moi
Et dans l’aube nouvelle ,
On s’éblouira des rayons des soleils comme des fleurs qu’on réveille
Et puis on s’en ira vers l’avant pour avaler tous les vents
Si on prenait le temps de chérir les nuances, si on doutait
Si on doutait de tout et même un peu de nous
Si on doutait du temps et de toutes ces évidences, alors on pourrait
S’amuser d’être fou aux yeux des autres, les vrais fous
Pour monter là haut où les lilas sentent le miel
Et monter si haut, les rêves n’ont pas besoin d’ailes
Au diable les temps des sages obéissances si on osait
Plonger dans les abimes et se soûler des vertiges
S’offrir le temps de notre renaissance, si on osait
Explorer les inédits , exploser les interdits
Et monter là haut, là où l‘enfance nous appelle
Et s’il le faut , tu me feras la courte échelle, ma belle
J’oserai dire “pardonne moi” puisque tu attends ça de moi
Et dans l’aube nouvelle ,
Dieu que les pages blanches sont belles, vierges de toute aquarelle
Et puisqu’on en a le talent, pourquoi ne pas les peindre en blanc
21 septembre 2021
from "Zig-zag”
Lyrics & music by Monmix"
